Lesprécautions et bons réflexes à adopter pour limiter les risques d’intoxication au monoxyde de carbone. Les températures d’hiver se font ressentir et de nombreux foyers ont déjà remis en route leur chauffage. L’occasion pour Lifeaz, start-up de la Tech for Good, de rappeler les dangers de l’intoxication au monoxyde de carbone, qui
Le1er novembre dernier, un homme de 70 ans est mort, chez lui à Sallanches, victime d’une intoxication au monoxyde de carbone. "Tous les ans en France, on dénombre une centaine de décès et
Lemonoxyde de carbone est un gaz incolore, inodore, insipide et très dangereux, produit par la combustion de l’essence, du bois et du charbon, entre autres combustibles.Cette combustion fournit de l’énergie, par exemple, aux voitures, aux chandeliers, aux cuisinières à gaz et aux systèmes de chauffage tels que les poêles.
Leramonage consiste à dégager le conduit de la suie et des autres déchets de combustion susceptibles de nuire au bon fonctionnement de votre appareil (cheminée à foyer ouvert, poêle à bois, insert, four à bois, chaudière à bois, poêle à granulés). Installation à bois : 72,00€ ramonage bois par le bas. 83,00€ ramonage bois par
Desappareils fonctionnant au gaz, au bois, au charbon, au fioul ou à l’éthanol peuvent dégager du monoxyde de carbone : chaudières, chauffe-eau, inserts de cheminée et poêles, chauffages d’appoint non électriques, mais aussi braseros, barbecues, groupes électrogènes ou moteurs de véhicules, s’ils sont placés dans un lieu clos.
Siplusieurs personnes dans une même pièce ont soudainement des maux de tête, des nausées, des vomissements, voire une perte de connaissance, il est fort probable qu’elles soient victimes d’une intoxication au monoxyde de carbone. Il est à noter que dans les cas les plus sérieux, cette intoxication se manifeste très rapidement et
Lesmodèles classés 6 étoiles affichent un taux d’émission de monoxyde de carbone de 0,15 % et ceux avec 7 étoiles affichent un taux d’émission de monoxyde de carbone de 0,12 %. Néanmoins, choisir un poêle à bois affichant un faible taux d’émission de monoxyde de carbone n’est pas suffisant. Vous devez également bien utiliser
Deuxincidents graves d’intoxication au monoxyde de carbone ont eu lieu dans le département du Val-de-Marne ces derniers jours. Le premier à Chevilly-Larue dû à l’allumage de braseros dans un appartement privé et le second à Noiseau dû au dysfonctionnement probable d’une chaudière. À l’approche de l’hiver, la Préfète du Val-de
Intoxicationau monoxyde de carbone à Mutzig: six personnes hospitalisées. En tout, douze personnes ont été prises en charge par les secours. Par Les Dernières Nouvelles d'Alsace - 11 avr
Lerisque d'intoxication au monoxyde de carbone concerne tous les appareils de chauffage à combustion. Autrement dit s'il y a flamme, il y a risque d'intoxication. Il s'agit donc des chaudières à gaz, au fuel, des cheminées, mais aussi les poêles à bois ou à charbon Les bons gestes à adopter. Pour éviter les intoxications, la seule solution, c’est
3TxAZ. Poêles à boisLes poêles à bois ont un rendement de 60 à 70 %. Grâce aux systèmes récupérateurs de chaleur, il est possible d’obtenir des rendements de 80 à 90 %.La combustion d’un kilo de bois nécessite environ 10 m3 d’air. Il faut donc prévoir une ventilation suffisante de la est important de ne brûler que du bois sec et non traité. Le bois humide produit beaucoup de vapeur d’eau qui peut perturber le tirage de la cheminée et a un pouvoir calorifique plus faible, ce qui abaisse la température de combustion et donc le rendement. L’utilisation de bois traité, peint ou aggloméré encrasse les conduits et est nocif pour l’ allumer un poêle à bois, il faut d’abord utiliser du petit bois et ouvrir les admissions d’air au maximum pour démarrer la combustion. Ensuite, on maintient une allure assez vive pendant un certain temps pour limiter les risques de dépôt de goudron dans le conduit de cheminée. Il vaut mieux charger le poêle en plusieurs fois pour éviter le dégagement d’une quantité importante de vapeur d’eau. Quand la combustion est optimale, c’est une fumée blanche ou incolore qui s’échappe de la est conseillé de laisser le feu s’éteindre de lui-même après avoir soigneusement fermé les portes du cheminée doit être ramonée une fois par an, deux fois en cas d’usage à pelletsLes pellets granulés de bois sont souvent recommandés pour des raisons écologiques parce qu’ils sont considérés comme un combustible neutre en CO2 lors de la combustion, la quantité de CO2 libérée correspond à celle que les arbres ont emmagasiné pendant leur cycle de vie. Il n’y a donc pas de rejet supplémentaire de CO2 dans l’atmosphère si on ne tient pas compte du CO2 dégagé pour l’exploitation, le transport et la production. Les pellets sont constitués de sciure de bois poêles à pellets sont équipés d’un réservoir. On peut en général verser tout un sac de pellets dans le poêle. Une vis d’Archimède pousse les pellets vers le haut et les fait tomber dans le creuset de plupart des poêles à pellets sont des appareils étanches l’air nécessaire à la combustion est prélevé à l’extérieur du local et la fumée est également rejetée à l’extérieur. En général il y a un seul conduit pour l’arrivée d’air et l’évacuation des fumées. La partie intérieure de ce conduit concentrique sert en général à évacuer les fumées et le conduit extérieur à apporter l’air frais. Un ventilateur force l’évacuation des cas de panne de courant, ou lorsqu’on coupe le courant, le ventilateur destiné à forcer l’évacuation des fumées s’arrête. Les pellets restants dans le poêle continuent à brûler, les fumées s’accumulent dans le poêle et génèrent une surpression. Quand la pression devient trop élevée, le système n’est plus étanche et les fumées peuvent entrer dans la pièce. Afin d’éviter que les fumées ne se répandent dans la pièce, il faut que l’évacuation d’un poêle à pellets soit également assurée par un tirage conduit d’évacuation du poêle à pellets peut être vertical, réalisé à l’intérieur d’une cheminée existante avec sortie sur le toit ou en façade. Lorsque l’on veut réaliser une sortie horizontale, à travers un mur extérieur, il faut respecter les règles suivantesUn conduit vertical d’une hauteur minimale de 1,5 m à partir de la sortie de l’ hauteur minimale du terminal extérieur par rapport au sol de 2 pellets peuvent libérer du CO sans brûler. Lorsque le taux d’oxygène baisse dans le local de stockage, les processus enzymatiques oxydatifs aboutissent à la production de CO. Il est dangereux de pénétrer sans ventilation préalable dans un espace où sont stockés des aussi la page sur les comubstibles solides.
Publié le 22/06/2018 - Modifié le 25/11/2019 Le monoxyde de carbone CO est un gaz toxique émis lors de la combustion incomplète d’un combustible. Du monoxyde de carbone peut ainsi émaner de la combustion du fioul, du charbon, du pétrole, du bois, des granulés ou du gaz. Les risques peuvent être limités en prenant des mesures préventives, notamment un bon entretien des matériels et des conduits. Un dispositif d'alarme, bien que non-obligatoire, est essentiel. Qu’est-ce que le monoxyde de carbone ? Le monoxyde de carbone ou CO est un gaz toxique qui est à la source du plus grand nombre d’intoxications mortelles en France plus d’une centaine de décès et des milliers d’intoxications souvent invalidantes à vie. Incolore, inodore, il est indétectable sans un dispositif d'alarme. Il se diffuse très rapidement dans l’air. Il est produit lorsque la combustion du bois, du gaz, du charbon, du fioul, du pétrole ou du gaz n’est pas complète. Lorsqu’il est respiré, il prend la place des globules rouges dans le sang, réduisant rapidement à zéro le taux d’oxygène qui y est présent. Les organes vitaux sont privés d’oxygène, entraînant dans un premier temps des symptômes proches de ceux de la grippe, puis, si rien n’est fait, la mort. Son action peut être très rapide et il est essentiel de minimiser les risques d’une part et d’installer des systèmes de détection d’autre part. Surveiller les installations pour minimiser les risques Comme le monoxyde de carbone est émis lors d'une combustion incomplète, il est important de vérifier et d'entretenir régulièrement les différents appareils de combustion et leurs conduits d'évacuation. Ainsi, les cuisinières à gaz ou à bois, les chaudières et les chauffe-eau au gaz, les poêles à bois et à granulés, les cheminées décoratives à l’éthanol, les groupes électrogènes à essence, les barbecues, les panneaux radiants à gaz et les chauffages d’appoint au butane ou à combustible liquide doivent faire l’objet d’un entretien et d’une vigilance accrue. Certains groupe électrogène, barbecue, par exemple ne doivent jamais être utilisés à l'intérieur. Entretien régulier Les chaudières doivent être entretenues par un professionnel qualifié tous les ans. Les conduits de fumée des chauffages au gaz doivent être ramonés par un professionnel certifié une fois par an. Les conduits des appareils de chauffage au fioul, au charbon au bois, au granulés doivent être ramonés une ou deux fois par an selon les règlements sanitaires départementaux. Nettoyer régulièrement les entrées d'air frais des poêles et chaudières à bois. Tous les jours Il faut ventiler le logement pour en renouveler l’air. L’action toxique du monoxyde de carbone est accélérée par une atmosphère confinée. Les systèmes de ventilation mécanique contrôlée VMC doivent être en bon état. En l'absence de ce type de dispositif, les fenêtres doivent être ouvertes tous les jours. Les ouïes et grilles de ventilation également présentes dans une VMC simple flux ne doivent jamais être bouchées. Il faut utiliser un combustible de qualité et, notamment, pour les cheminées à foyer ouvert ou les inserts, un bois parfaitement sec. À ne pas faire Il ne faut jamais utiliser de façon prolongée et permanente un chauffage d’appoint fonctionnant au gaz ou au combustible liquide, et toujours suivre à la lettre les consignes de sécurité du fabricant. Installer des appareils de détection En complément d’un DAF Détecteur Automatique de Fumée, obligatoire, un détecteur automatique de monoxyde de carbone est une excellente façon de se protéger des risques d’intoxication. Il n’est pas encore obligatoire mais fortement recommandé. Son installation est facile et son coût n'est pas important. Il permet de se prémunir du risque d'intoxication à peu de frais. Choisir un modèle fiable Tout comme le détecteur de fumée, le détecteur de monoxyde de carbone doit offrir des garanties absolues de sa fiabilité. Le détecteur de monoxyde de carbone donne l’alerte en fonction du temps d’exposition et du niveau de concentration du monoxyde de carbone dans l’air. Il faut absolument choisir un modèle marqué de la norme NF EN 50291, puisque c’est cette norme qui impose l’affichage des différents seuils de l’appareil. Les appareils mixtes fumée/CO ne sont pas agréés. Installer les détecteurs de CO au bon endroit Un détecteur doit être installé dans chacune des pièces où se trouve un appareil de combustion alimenté par les énergies décrites plus haut. Il doit donner l’alerte de façon auditive et sonore, être installé de telle façon que les occupants de la maison puisse l’entendre. À défaut, des appareils déportés transmettant l'alarme doivent être installés près des pièces à vivre, chambres, notamment, être installés à plus de 1,80 m du sol et à moins de 15 cm du plafond en l'absence de dispositif de ventilation, à plus de 30 cm de tout obstacle et à 1 à 3 m de la source de chauffage potentiellement émétrice de CO. Que faire en cas d’intoxication au monoxyde de carbone ? Signalée par des nausées ou des vomissements et des maux de tête partagés par tous les habitants du foyer les organismes des plus petits sont plus sensibles et ces derniers présenteront donc les symptômes en premier, l’intoxication au monoxyde de carbone est grave et ne doit pas être prise à la légère. Il faut ouvrir les fenêtres pour aérer, éteindre dans la mesure du possible tous les appareils à combustion, quitter les lieux le plus rapidement possible, contacter les secours aux numéros d’urgences habituels 112, 114, 18 et 15, ne pas réintégrer le logement avant d’avoir l’aval d’un professionnel. Texte Christian Pessey
Maux de têtes, fatigue, nausées… Attention, il s’agit peut-être des premiers signes d’intoxication au monoxyde de carbone. Invisible, inodore et non irritant, le monoxyde de carbone agit comme un gaz asphyxiant. Chaque année, ce gaz toxique est responsable d’une centaine de décès en France. Le ministère des Solidarités et de la Santé fait le point sur les risques d’intoxication. Des appareils de chauffage mal entretenus et une mauvaise aération des locaux peuvent provoquer ce type d’intoxication. La présence de ce gaz résulte en effet d’une combustion incomplète, et ce quel que soit le combustible utilisé gaz naturel, bois, charbon, fuel, butane, propane, essence ou pétrole… pour la production de chaleur ou de lumière. Afin de limiter les risques d’intoxication au monoxyde de carbone, il est nécessaire d’adopter les bons gestes faire vérifier et entretenir les installations de chauffage et de production d’eau chaude ainsi que les conduits de fumée ramonage mécanique par un professionnel qualifié dans votre résidence principale, et secondaire le cas échéant ; aérer les locaux au moins 10 minutes par jour ; maintenir vos systèmes de ventilation en bon état de fonctionnement et ne jamais obstruer les entrées et sorties d’air ; respecter les consignes d’utilisation des appareils à combustion indiquées par le fabricant ne jamais faire fonctionner les chauffages d’appoint en continu ; placer impérativement les groupes électrogènes à l’extérieur des bâtiments ; ne jamais utiliser pour se chauffer ou cuisiner en intérieur des appareils non destinés à cet usage cuisinière, brasero, barbecue…. Attention En collectivité, il convient d’être particulièrement attentif les intoxications liées à l’utilisation de chauffages à gaz sont fréquentes. En cas de suspicion d’intoxication aérer immédiatement ; arrêter si possible les appareils à combustion ; évacuer les lieux sans attendre ; appeler les secours en composant le 15 Samu, le 18 pompiers, le 112 numéro d’urgence européen ou encore le 114 pour les personnes malentendantes. La prise en charge des personnes intoxiquées doit intervenir rapidement, dès les premiers symptômes, et peut nécessiter une hospitalisation.
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