Lavie est une vallée de larmes. Publié le 16/11/2015 à 08:58 par amour-en-proverbe En soumettant ce formulaire, j'autorise le site diffuser mon commentaire sur ce blog sans limitation de durée. ei4nL. Ce mardi 23 août 2022, W9 proposait un nouveau numéro du Reste du monde à Ibiza. Prochainement, l’émission sera une nouvelle marquée par la relation explosive et tumultueuse de Simon Castaldi et le lundi 11 juillet 2022, W9 diffuse quotidiennement en access prime-time Le reste du monde, romance à Ibiza . Cette saison spéciale est consacrée à la préparation du mariage entre Nikola et Laura. Mais, de nombreuses péripéties vont pimenter ses préparatifs. Depuis plusieurs jours, Simon Castaldi et Adixia sont au cœur de toutes les attentions. Nouvelles tensions entre Simon et Adixia, Marwa s’effondre Après une nouvelle dispute, Simon et Adixia vont finir par mettre les choses au clair et les tensions vont s’apaiser dans l’épisode du Reste du monde à Ibiza proposé ce mercredi 24 août sur W9. En revanche, dans le prochain numéro qui sera diffusé le jeudi 25 août, une nouvelle dispute va éclater au sein du couple. Alors que Virginie fait du karting, Adixia n’apprécie pas la façon dont Simon l’encourage. Puis, lors d’une soirée “love” à la villa, juste après que Simon a rassuré Adixia sur ses sentiments, les camarades du fils de Benjamin Castaldi décident de le tester. Le jeune homme va manifestement tomber dans un piège et Adixia va s’emporter violemment contre lui en le traitant de pervers. Simon affirme qu’il blaguait, ce qui ne fait pas rire Adixia. De son côté, Marwa se sent triste et la soirée “Love” tourne à la déprime pour elle. La jeune femme va même fondre en larmes… Quelle audience pour Le Reste du monde à Ibiza sur W9 ? L’épisode inédit du Reste du monde à Ibiza , diffusé le mardi 23 août, entre 19h53 et 20h38, a réuni 359 000 téléspectateurs, soit 2,1% de part de marché sur les quatre ans et plus. Sur une semaine, le programme reste stable. La rediffusion de la veille, proposée entre 19h04 et 19h53, a séduit 231 000 fidèles, soit 1,8% de l’ensemble du public. A noter que dès le lundi 29 août, le retour de Quotidien sur TMC ou de Touche pas à mon poste sur C8 pourrait faire mal en audience à l’émission de télé-réalité de W9. L’épisode inédit du Reste du monde à Ibiza est à retrouver du lundi au vendredi dès 19h50 sur W9. Nous publions ci-dessous de longs extraits de la Contribution à la critique de La philosophie du droit de Hegel écrit par Karl Marx en 1843 1. Ces lignes, qui ont la force de la beauté poétique, sont aussi d’une brûlante actualité. La religion, la croyance, le mysticisme, l’obscurantisme… y sont dépeints comme un produit de l’aliénation et donc des souffrances et de la déshumanisation infligées aux exploités. La religion n’est donc pas simplement une conscience erronée du monde, elle est aussi une réponse à l’oppression réelle, mais une réponse inappropriée et qui ne conduit qu’à l’ mise à bas des mille plaies de la société passe inévitablement par l’abolition de l’exploitation et de l’oppression. Alors l’obscurantisme n’aura plus de raison d’ la plume de Marx, cette révolution n’est pas seulement absolument nécessaire, elle est surtout possible. Dans ce texte, il exprime en effet toute la confiance qu’il porte dans la capacité du prolétariat à mener une lutte historique et consciente pour l’émancipation de toute l’ texte que nous publions ayant fait l’objet de larges coupes, nous pensons qu’il est nécessaire d’expliquer ce choix à nos source fondamentale de la mystification religieuse est l’esclavage économique. Les croyances disparaîtront donc avec l’abolition de la dernière forme d’exploitation, le salariat. Tel est le fond de la pensée de Marx, son aboutissement logique. Néanmoins, au milieu du xixe siècle, Marx a sous les yeux un capitalisme florissant. En France, la bourgeoisie révolutionnaire et éclairée mène depuis près d’un siècle une lutte décidée et radicale contre les archaïsmes économiques et politiques féodaux qui entravent son développement. La religion faisant partie de ces archaïsmes, elle est combattue par la nouvelle classe dominante et elle recule effectivement au fur et à mesure que le capitalisme se développe. La bourgeoise allemande est, en revanche, économiquement empêtrée dans le passé ; elle ne parvient pas à jeter aux orties les vestiges féodaux qui la paralysent, ce qu’elle fera finalement lors de la guerre franco-prussienne de 1870 et la transformation de la Prusse en pensait alors que cette tâche revenait au prolétariat allemand qui, par le développement de sa lutte, porterait un coup fatal à l’obscurantisme. C’est pourquoi la version intégrale de la Contribution à la critique de La philosophie du droit de Hegel contient de longs passages sur la particularité de la situation allemande que nous avons choisi ici de façon plus générale, Marx pensait que le développement économique du capitalisme allait saper les fondements de la religion. Dans l’Idéologie allemande, par exemple, il affirme que l’industrialisation capitaliste a réussi à réduire la religion à n’être plus qu’un simple mensonge. Pour se libérer, le prolétariat devait perdre ses illusions religieuses et détruire tous les obstacles l’empêchant de se réaliser en tant que classe ; mais le brouillard de la religion devait être rapidement dispersé par le capitalisme lui-même. En fait, pour Marx, le capitalisme lui-même était en train de détruire la religion, à tel point qu’il en parlait parfois comme une forme d’aliénation déjà dépassée pour le prolétariat. Nous savons aujourd’hui qu’il n’en a rien été, bien que le capitalisme et le développement des sciences aient sapé un à un les fondements de toutes les religions. En fait, depuis que le capitalisme a cessé d’être une force révolutionnaire pour la transformation de la société, la bourgeoisie s’est de nouveau tournée pleinement vers l’idéalisme et la des erreurs de prévisions inévitables, liées à époque historique, le fond de la pensée exprimée par Marx reste parfaitement valable la religion est le résultat de l’exploitation, elle ne disparaîtra qu’avec elle, et seul le prolétariat est capable de mener à bien cette lutte indispensable pour la survie et l’épanouissement de l’ fondement de la critique irréligieuse est c’est l’homme qui fait la religion, et non la religion qui fait l’homme. Certes, la religion est la conscience de soi qu’a l’homme qui ne s’est pas encore trouvé lui-même, ou bien s’est déjà reperdu. Mais l’homme, ce n’est pas un être abstrait blotti quelque part hors du monde. L’homme, c’est le monde de l’homme, l’Etat, la société. Cet Etat, cette société produisent la religion, conscience inversée du monde, parce qu’ils sont eux-mêmes un monde à l’envers. La religion est la théorie générale de ce monde, sa somme encyclopédique, sa logique sous forme populaire, son point d’honneur spiritualiste, son enthousiasme, sa sanction morale, son complément solennel, son universel motif de consolation et de justification. Elle est la réalisation chimérique de l’être humain, parce que l’être humain ne possède pas de réalité véritable. Lutter contre la religion, c’est donc indirectement lutter contre ce monde-là, dont la religion est l’arôme misère religieuse est tout à la fois l’expression de la misère réelle et la protestation contre la misère réelle. La religion est le soupir de la créature opprimée, l’âme d’un monde sans cœur, comme elle est l’esprit de conditions sociales d’où l’esprit est exclu. Elle est l’opium du la religion, ce bonheur illusoire du peuple, c’est exiger son bonheur réel. Exiger qu’il abandonne toute illusion sur son Etat, c’est exiger qu’il renonce à un Etat qui a besoin d’illusions. La critique de la religion est donc en germe la critique de la vallée de larmes dont la religion est l’ critique a dépouillé les chaînes des fleurs imaginaires qui les recouvraient, non pour que l’homme porte des chaînes sans rêve ni consolation, mais pour qu’il rejette les chaînes et cueille les fleurs vivantes. La critique de la religion détruit les illusions de l’homme afin qu’il pense, agisse, forge sa réalité en homme sans illusions parvenu à l’âge de la raison, afin qu’il gravite autour de lui-même, c’est à dire de son véritable soleil. La religion n’est que le soleil illusoire qui gravite autour de l’homme tant que l’homme ne gravite pas autour de donc la tâche de l’histoire, une fois l’au-delà de la vérité disparu, d’établir la vérité de l’ici bas. Et c’est tout d’abord la tâche de la philosophie, qui est au service de l’histoire, de démasquer l’aliénation de soi dans ses formes profanes, une fois démasquée la forme sacrée de l’aliénation de l’homme. La critique du ciel se transforme ainsi en critique de la terre, la critique de la religion en critique du droit, la critique de la théologie en critique de la politique. ….Il s’agit de faire le tableau d’une sourde oppression que toutes les sphères sociales exercent les unes sur les autres, d’une maussaderie générale mais inerte, d’une étroitesse d’esprit faite d’acceptation et de méconnaissance, le tout bien encadré par un système de gouvernement qui, vivant de la conservation de toutes les médiocrités, n’est lui-même que la médiocrité au spectacle ! Voici la société infiniment divisée en races les plus diverses qui s’affrontent avec leurs petites antipathies, leur mauvaise conscience et leur médiocrité brutale, et qui, en raison même de leur voisinage équivoque et méfiant, sont toutes, sans exception, traitées par leurs seigneurs comme des existences concédées. Et ce fait même d’être dominées, gouvernées, possédées, elles doivent le reconnaître et le confesser comme une concession du ciel ! Et voici, en face d’elles, ces maîtres eux-mêmes dont la grandeur est inversement proportionnelle à leur nombre ! …Il faut rendre l’oppression réelle encore plus pesante, en lui ajoutant la conscience de l’oppression, rendre la honte plus infamante encore, en la divulguant. …De toute évidence, l’arme de la critique ne peut pas remplacer la critique des armes la force matérielle doit être renversée par une force matérielle, mais la théorie se change, elle aussi, en force matérielle, dès qu’elle saisit des masses. La théorie est capable de saisir les masses, dès qu’elle argumente ad hominem, et elle argumente ad hominem dès qu’elle devient radicale. Être radical, c’est saisir les choses par la racine. Mais la racine, pour l’homme, c’est l’homme lui-même. … La critique de la religion s’achève par la leçon que l’homme est l’être suprême pour l’homme, donc par l’impératif catégorique de renverser tous les rapports sociaux où l’homme est un être dégradé, asservi, abandonné, méprisable ; ces rapports, on ne saurait mieux les rendre que par l’exclamation d’un Français à l’annonce d’un projet d’impôt sur les chiens Pauvres chiens ! on veut vous traiter comme des hommes ! …[La possibilité de l’émancipation réside] dans la formation d’une classe chargée de chaînes radicales, d’une classe de la société civile qui ne soit pas une classe de la société civile, d’un ordre qui soit la dissolution de tous les ordres, d’une sphère qui possède un caractère universel en raison de ses souffrances universelles et qui ne revendique aucun droit particulier parce qu’on ne lui fait subir non un tort particulier mais le tort absolu, qui ne peut plus s’en rapporter à un titre historique, mais seulement à un titre humain, … d’une sphère, enfin, qui ne peut s’émanciper sans s’émanciper de toutes les autres sphères de la société et, partant, sans les émanciper toutes ; en un mot, une sphère qui est la perte totale de l’homme et ne peut donc se reconquérir elle-même sans la reconquête totale de l’homme. Cette dissolution de la société, c’est, en tant que classe particulière, le prolétariat. … Lorsque le prolétariat annonce la dissolution de l’ordre présent du monde, il ne fait qu’énoncer le secret de sa propre existence, car il est lui-même la dissolution effective de cet ordre du monde.”K. Marx1 Ces extraits s’appuient sur les différentes traductions de ce texte disponibles sur Internet et sur papier dans la Bibliothèque de la Pléiade Karl Marx, Œuvres III, Philosophie, 1982, pages 382 à 397. Le point de vue biblique - La vallée des larmesLorsque l’on considère la manière dont le christianisme s’est développé à travers les âges, nous devons admettre qu’il n’est plus aujourd’hui qu’une grande Institution religieuse. Ce n’est plus tellement la ferveur spirituelle de ses adhérents que l’on remarque le plus, mais plutôt la mortelle habitude qui s’est développée de devenir et de demeurer de bons chrétiens. C’est pourquoi, il ne faut pas avoir trop d’ ennui obligéEn observant le peuple de Dieu, on constate qu’il y a peu de gens qui vivent réellement une belle relation avec Jésus-Christ. La plupart ne font qu’obéir aux commandements, du moins en ont-ils l’apparence. Pour ceux-là, la Bible n’est pas un livre qui édifie et qui procure la vie. Bien au contraire, il semble plutôt leur rappeler la médiocrité de leur condition. Ainsi, la vie chrétienne est d’un ennui mortel, mais obligé. Ils ne sont pas assez fervents pour aller de l’avant avec Dieu, mais pas assez courageux, non plus, pour tout laisser tomber. Combien sont-ils à croupir dans nos églises sans trop savoir pourquoi ni pour combien de temps encore?Encourageons-nous un peu !Loin de moi l’intention de vous lancer la pierre si vous vivez actuellement une telle situation. J’ai moi aussi traversé des vallées de sécheresse et je sais à quel point c’est difficile. Quand je parle de vallée, je parle de ces moments où la vie chrétienne ne veut plus rien dire de significatif, de ces temps où l’on ne comprend plus le bonheur qui anime les croyants autour de nous. Et ce qui s’avère le plus agressant dans ces moments-là, c’est lorsque certains nous exhortent à un peu plus de consécration. Mais y a-t-il encore quelqu’un qui voudrait nous encourager un peu?Prévu d’avancePourquoi croyons-nous qu’il est anormal de vivre des moments pareils? Serait-ce à cause de notre siècle où les performances individuelles sont tellement honorées? Ou est-ce parce que nous vivons dans une société qui tente, par tous les moyens, de s’affranchir de tout qui ne se justifie pas par un certain niveau de rentabilité? Nous tous, qui vivons dans ce troisième millénaire, détestons l’échec. Pourtant, la Parole de Dieu laisse une place considérable à l’échec. Presque tous les héros bibliques ont échoué bien plus souvent qu’ils ont réussi. La Bible les déclare héros», non parce qu’ils étaient parfaits, mais parce que, malgré leurs faiblesses, ils ont persévéré avec Dieu. Voilà donc ce qu’est un héros selon Dieu!Psaume 846-8Heureux ceux qui placent en toi leur appui! Ils trouvent dans leur cœur des chemins tout tracés. Lorsqu’ils traversent la vallée de Baca, ils la transforment en un lieu plein de sources, et la pluie la couvre aussi de bénédictions. Leur force augmente pendant la marche, et ils se présentent devant Dieu à Sion.»Ce texte est un solide encouragement pour ceux qui vivent des peines et des chagrins continuels parce que le Psaume les dit heureux». Dans le texte hébreu, le nom Baca signifie pleurs ou larme. C’est donc bien de la vallée des larmes dont il est question ici. Que faire alors? Nous devons accepter les larmes comme étant permises de Dieu pour un temps et se confier en Dieu pour trouver en Lui un appui qui ne manque Gaudreault, pasteur de l’Assemblée Chrétienne La Bible Parle, Saguenay.

la vie est une vallée de larmes