M Paul Fournies, lit une étude sur l'origine de la maxime ancienne du droit public français : « Le Roi est Empereur dans son royaume. » La question a été longtemps discutée.
AprĂšsla fin de lâEmpire romain dâOccident, en 476, plusieurs royaumes le remplacent. Le plus puissant dâentre eux, situĂ© en Gaule, est le royaume des Francs. Son roi Clovis (481-511) se convertit au christianisme. Trois siĂšcles plus tard, le roi des Francs Charlemagne reprend le titre dâempereur (800).
LEmpereur-Mage (éæłćž, Mahotei) est le titre donnĂ© au plus puissant Chevalier-Mage du Royaume de Clover. Le dĂ©tenteur de ce titre dirige aussi l'Ordre des Chevaliers-Mages. Ce titre est actuellement dĂ©tenu par Julius Novachrono. Le titre d'Empereur-Mage Ă©tait originellement donnĂ© Ă titre honorifique Ă un mage qui avait dĂ©fendu l'humanitĂ© contre un dĂ©mon. Avec le
Empereurest un titre monarchique, parfois hĂ©rĂ©ditaire, portĂ© par le souverain d'un empire.. Origine. Du latin imperare qui signifie « commander en maĂźtre, ordonner », du prĂ©fixe in et du verbe parare, prĂ©parer, apprĂȘter [1].Il a donnĂ© le mot imperium, « commandement » dâoĂč dĂ©coule « impĂ©rieux ». « Empereur » est une dĂ©formation du titre dâimperator que portaient les
Paragraphe1 lâindĂ©pendance du roi Au 13 -Ăšme siĂšcle le roi de France utilise La formule du texte le roi est empereur dans son royaume montrer que le roi devient autonome par rapport au pape et au lâempereur germanique . A)La prĂ©tention du roi vis-Ă -vis de lâempereur germanique
PrinceimpĂ©rial, lâenfant est titrĂ© roi de Rome. Il nâa que 3 ans lorsque, le 4 avril 1814, son pĂšre abdique en sa faveur, aprĂšs avoir perdu sa derniĂšre campagne militaire, la campagne de
LeRoi est-il empereur en son Royaume? « Le Roi est empereur en son Royaume » est un adage dont les sources sont confuses. En effet on lâaccorde tantĂŽt Ă
Elleest toujours en cavale. Premier tournoi du Royaume pour trouver le champion des terres, Carrius dâOrlaloy en ressort vainqueur. Il porte encore le titre Ă ce jour. Vax EmâLouki, sorcier du Roi sâest aventurĂ© dans la vallĂ©e des murmures et y est restĂ© coincĂ©. Une expĂ©dition a Ă©tĂ© organisĂ©e pour le sauver, bien que cette
Ilest important de savoir que le souverain masculin est le souverain hĂ©rĂ©ditaire d'un Ătat indĂ©pendant ou d'un royaume. Un empereur, en revanche, se rĂ©fĂšre au souverain d'un empire. C'est la principale diffĂ©rence entre les deux mots, roi et empereur. Il est intĂ©ressant de noter qu'un souverain au rang d'empereur est supĂ©rieur au souverain au rang de roi. Les rois et les
LessKïlerr est consideré comme le chef des Empereurs Noirs et son royaume est le plus grand et le plus dangereux. Guil'Hïjann Guil'Hïjann, est l'Empereur Noir le plus dévoué à Less'Kïlerr. Seul son maßtre surpasse sa puissance. Son peuple le méprise, mais aucun n'ose le défier, déjà cause de sa propre puissance mais aussi car c'est le créateurs des armes les plus
qSG8Z1B. Citer Chez nous, les insignes nâĂ©taient dâailleurs pas constitutifs du roi ou de la reine comme en Hongrie oĂč lâon connaĂźt le rĂŽle de la sainte couronne dite de saint Ătienne ». Nos insignes nâĂ©taient pas sacrĂ©s, en dehors de la sainte couronne » dite par la suite couronne de saint Louis » qui enfermait des reliques rĂ©putĂ©es ĂȘtre du Christ. Il y avait certes un ensemble dâinsignes assez prestigieux, tous placĂ©s sous le patronage de Charlemagne dans la premiĂšre moitiĂ© du xviie siĂšcle, mais on pouvait sâen passer comme on le vit pour Charles VII en 1429 et Henri IV. Ces insignes et vĂȘtements ne faisaient pas le roi car câĂ©tait la coutume, la loi successorale intangible et venant de Dieu mĂȘme disait Louis XIV, qui faisait le roi. Nos ancĂȘtres Ă©taient par ailleurs pragmatiques et les moines de SaintâDenis dĂ©coupaient les manteaux de sacre pour en faire des ornements liturgiques destinĂ©s Ă des messes spĂ©ciales. Avaientâils quelques remords ? Ce qui peut paraĂźtre vandalisme avait pour avantage de faire travailler les artisans. Les Français nâĂ©taient pas amateurs dâancien et leurs goĂ»ts variaient avec la pourtant elles Ă©taient superbes les couronnes du roi et de la reine, couple dâinsignes unique dans lâhistoire. En effet, ces couronnes avaient Ă©tĂ© faites sous Philippe II Auguste avec des idĂ©es prĂ©cises venant de Louis VII. La verge dâune coudĂ©e ornĂ©e dâune main dâivoire, quâon nomma main de justice lors des obsĂšques de Charles VII en 1461, Ă©tait le sceptre davidique par excellence, et celle du sacre venait des premiers Valois. Le long sceptre sommĂ© dâun blanc lys surmontĂ© de la statuette de saint Charlemagne Ă©tait une crĂ©ation de Charles V, en lâhonneur de son saint patron, rĂ©putĂ© auteur de la loi de succession comme lâĂ©crivait Jean Golein. Les Ă©perons furent fabriquĂ©s au xiie siĂšcle et la poignĂ©e de lâĂ©pĂ©e Joyeuse est un incroyable montage de piĂšces disparates probablement rĂ©alisĂ© pour le sacre de Philippe II Auguste en Les attributs de notre roi Ă©taient originaux par rapport Ă celui des autres rois du monde chrĂ©tien. Sa couronne de sacre se composait en rĂ©alitĂ© dâune couronne dâor ornĂ©e de pierres prĂ©cieuses ayant une grande signification fig. 10 ; elle Ă©tait posĂ©e sur une coiffe conique, dite tiare en 1517, ensemble soulignant que le CapĂ©tien Ă©tait roi et prĂȘtre Ă la mode de MelchisĂ©dech. Oint sur la tĂȘte par un baume cĂ©leste, Louis VII sâestimait en quelque sorte lâĂ©gal des Ă©vĂȘques. Les pierres par leurs nombres et couleurs, ainsi que les troches de perles de la coiffe, soulignaient lâaspect apostolique du roi ; la structure de la couronne elleâmĂȘme indiquait le rĂŽle de celuiâci, pratiquant les trois vertus thĂ©ologales et participant Ă lâexpansion et au triomphe de la Sainte TrinitĂ© dans les quatre directions de lâ Pinoteau, Insignes et vĂȘtements royaux, Royal garments and insignia trouvĂ© ça qui peut vous intĂ©resser. _________________Scribant reliqua potiores, aetate doctrinisque florentes. quos id, si libuerit, adgressuros, procudere linguas ad maiores moneo stilos. Amm. XXXI, 16, 9.
Il y a trente ans, Didier Piganeau, alias Didier 1er rĂ©gnait sur le Royaume de Basoche Ă Poitiers. Avec ses camarades, joyeux lurons, lâĂ©tudiant en droit, Ă lâesprit frondeur, sâest inventĂ© ce Royaume, constituĂ© de quelques bistrots et de franches rigolades. A la suite dâune bonne blague, en 1977, il sâest ainsi retrouvĂ© invitĂ© au couronnement de Bokassa 1er Ă Bangui en Centrafrique. Pris dans lâengrenage, il a assumĂ© jusquâau bout son rĂŽle de roi et sa couronne imaginaire. Devenu journaliste Ă Sud-Ouest, il raconte son incroyable pĂ©riple, dans Le roi chez lâempereur, aux Ă©ditions La Table Ronde. TĂ©lĂ©charger l'interview
Le royaume de France est une monarchie absolue de droits divin qui est dirigĂ© par un souverain sacrĂ© qui est considĂ©rĂ© comme lieutenant de Dieu sur Terre. Il tient son autoritĂ© directement de Dieu. Mais il n'a pas pour autant tous les pouvoirs mais c'est lui qui est le seul responsable et c'est lui qui dĂ©cide aprĂšs avoir Ă©coutĂ© ses conseillers. I La puissance royale A La souverainetĂ© du roi La souverainetĂ© du roi est dĂ©finit par de nombreux ouvrages de l'Ă©poque Ă©crit par des hommes de loi ou des juristes consultes. Le roi de France est d'abord un souverain sacrĂ© qui fait le serment de dĂ©fendre l'Eglise et de respecter les lois divines. Il porte le titre de Roi TrĂšs ChrĂ©tien qui le distingue des autres rois. Le sacre, pour les contemporains donne des pouvoirs surnaturels notamment celui de guĂ©rir une maladie les Ă©crouelles. Il touche des malades et dit LE ROI TE TOUCHE, DIEU TE GUERIT. Le roi de France est comme au Moyen Age, un seigneur. Il possĂšde des seigneuries, des domaines, des terres. Il possĂšde un certain nombre de droits taxes qui son prĂ©levĂ© sur ses terres. 1692 Louis XIV se proclama seigneur direct Ă toutes les terres du royaume. Le roi de France considĂšre qu'il n'a au-dessus de lui aucune autoritĂ© terrestre car il tient son pouvoir directement de Dieu Le roi de France est empereur en son royaume » le roi de France ne reconnait pas l'autoritĂ© de l'empereur St Empire. Le roi de France ne reconnait pas la supĂ©rioritĂ© du Pape et notamment il ne reconnait pas au Pape le droit de d'ingĂ©rer dans les affaires du royaume et de monter le peuple contre le pouvoir royal. Il reconnait par contre les lois divines et les lois fondamentales du royaume constitution coutumiĂšre. Ex Louis XIV a voulu enfreindre ces lois fondamentales, il les a fait modifier pour permettre Ă ses bĂątards lĂ©gitimĂ©s de lui succĂ©der. Mais dĂšs sa mort, ces lois ont Ă©tĂ© annulĂ©es car mĂȘme s'il Ă©tait un roi absolu, il ne l'Ă©tait que durant sa vie. B Les pouvoirs du roi. Les pouvoirs du roi sont trĂšs Ă©tendus, ils ont Ă©tĂ© Ă©crit, dĂ©finis par les juristes consultes comme par exemple Loyseau, Cardin le Bret. En le dĂ©finissant, ils ont Ă©tĂ© dĂ©limitĂ©s. 1er pouvoir le pouvoir de faire la loi, ces lois portent plusieurs noms Ă©dits concerne une matiĂšre prĂ©cise ex l'Edit de Nantes pratique de la religion rĂ©formĂ©e. Les ordonnances lois plus longues que les Ă©dits mais qui a un objet prĂ©cis ex les ordonnances des eaux et forĂȘts Les dĂ©clarations royales texte assez court qui a pour but de prĂ©ciser l'interprĂ©tation d'un Ă©dit ou d'une ordonnance antĂ©rieure. = lettres patentes lettres publics, ouvertes pour ĂȘtre appliquĂ©s ces lettres patentes doivent ĂȘtre enregistrĂ© par les cours souveraines ce qui fait participer le parlement. Il peut donner des conseils, critiquĂ© droit de remontrance. Mais le roi a toujours le dernier mot. 2Ăšme pouvoir le roi dirige la diplomatie, il arbitre la paix et la guerre dans la mesure oĂč il le peut. 3Ăšme pouvoir le roi est le seul Ă pouvoir battre monnaie. 1693 Louis XIV met un terme aux autres monnaies du royaume seigneurs ont l'interdiction de frapper monnaie. Pouvoir monĂ©taire Le roi fixe l'aloi pourcentage de mĂ©tal prĂ©cieux qui a dans une piĂšce. Il fixe la taille, nombre de piĂšces que l'on peut tailler dans un lingot. Il fixe le rapport entre la monnaie de compte livre, denier, sol et la monnaie rĂ©elle les Ă©cus. 4Ăšme pouvoir le roi a le droit de crĂ©er des offices pour l'aider Ă remplir ses taches. Le roi peut crĂ©er des nobles soit en donnant des lettres de noblesse Ă quelqu'un de mĂ©ritant dans quelque cas c'est gratuit. 5Ăšme pouvoir le roi a le pouvoir de rendre la justice. Toute la justice en France est rendue au nom du roi. Mais il y a deux formes de justice la justice dĂ©lĂ©guĂ©e juges et la justice retenue faĂźte par le roi en personne. 6Ăšme pouvoir le pouvoir de lever l'impĂŽt, de faire payer des impĂŽts. Beaucoup considĂšrent que le roi Ă©tant un seigneur, doit vivre uniquement de ses domaines. = pouvoir sujet Ă discussion. Les meilleurs professeurs d'Histoire disponibles5 27 avis 1er cours offert !5 152 avis 1er cours offert !4,9 13 avis 1er cours offert !4,9 21 avis 1er cours offert !4,9 26 avis 1er cours offert !4,9 15 avis 1er cours offert !5 20 avis 1er cours offert !5 9 avis 1er cours offert !5 27 avis 1er cours offert !5 152 avis 1er cours offert !4,9 13 avis 1er cours offert !4,9 21 avis 1er cours offert !4,9 26 avis 1er cours offert !4,9 15 avis 1er cours offert !5 20 avis 1er cours offert !5 9 avis 1er cours offert !C'est partiII le gouvernement par conseil A Origine et principe des conseils. Le roi gouverne entourĂ© de conseillers hĂ©ritage mĂ©diĂ©val notamment du devoir des vassaux de conseiller le roi, le chef. Au Moyen-Ăąge, le roi est entourĂ© de conseillers le conseil du roi curia regis. Au fil du temps, le conseil s'est agrandi car les taches sont de plus en plus nombreuses. Les membres du conseil de roi se sont rĂ©unis a part, ils ont finis par crĂ©er de nouvelles constitutions parlement. Ceux qui s'occupaient des finances la chambre des comptes. Mais ils portent toujours le nom de conseiller du roi. Reste auprĂšs du roi, le conseil au sens strict. A l'origine, il y avait les proches parents du roi les conseillers nĂ©s. Mais ils ne sont pas toujours compĂ©tents. Alors petit Ă petit le roi s'est fait aidĂ© par des personnes un peu plus spĂ©cialisĂ©es, c'est lui qui les choisit les conseillers faits. En gĂ©nĂ©ral, quand les affaires vont bien, il Ă©carte les conseillers nĂ©s et favorise les conseillers faits mais inversement lorsque les affaires vont mal. Louis XIV favorise les conseillers faits. 1691 le dauphin est admis aux conseils. Les spĂ©cialistes des finances prennent plus de poids Ă cause des guerres. B Les conseils sous Louis XIV Il n'y a qu'un seul conseil le conseil du roi. Les dĂ©cisions du conseil sont des arrĂȘts. Gouverner devient de plus en plus complexe, le conseil se rĂ©unit souvent, les sĂ©ances sont spĂ©cialisĂ©s. En fonction des jours et des thĂšmes abordĂ©s les sĂ©ances prennent des noms diffĂ©rents. 1er nom Le conseil d'en haut Ă partir de 1643 Il siĂšge au 1er Ă©tage du chĂąteau des appartements du roi. Conseil plus important. Il traite de la guerre. Les membres sont peu nombreux 3-4 personnes Ministre d'Etat. Ils sont appelĂ©s au Conseil par lettre Ă chaque fois ou oralement par un huissier. Mais on reste Ministre d'Etat jusqu' Ă sa mort. 1709 une demi-douzaine de personnes 2Ăšme nom Le conseil des dĂ©pĂȘches, fondĂ© par Mazarin au moment de la Fronde. Conseil dans lequel on lit la correspondance administrative et on prĂ©pare les rĂ©ponses. D'une demi-douzaine Ă une dizaine de personnes dont les Ministres d'Etat. 3Ăšme nom Le conseil royal des Finances conseil thĂ©orique prĂ©sidĂ© par un chez qui n'a aucun pouvoir. Il ne sert Ă rien. Dans la rĂ©alitĂ©, le roi traite des affaires financiĂšres avec le contrĂŽleur gĂ©nĂ©ral des finances. 4Ăšme nom Le conseil royal du commerce 1664 crĂ©er Ă l'initiative de Colbert et disparait en 1676 et rĂ©apparait en 1701. 5Ăšme nom Le conseil de conscience But conseiller le roi sur le choix des Ă©vĂȘques 2 personnes le roi et son confesseur surnommĂ© le ministre de la feuille. Le confesseur est un jĂ©suite. Ex PĂšre François de La Chaise 1674-1709 Michel le Tellier 1709-1715 6Ăšme nom Le conseil d'Etat privĂ© Ou Le conseil des partis Conseil technique qui rĂ©unit des conseillers d'Etat. Louis XIV y alla trĂšs peu Louis XV 2-3 fois. Mais si on s'y fait remarquer, on peut ĂȘtre nommĂ© intendant. III Les ministres et grands serviteurs de la couronne A Le chancelier Le chancelier est le grand officier de la couronne. Il est le symbole de la pĂ©rennitĂ© de la justice marquĂ© par le fait que le chancelier ne porte jamais le deuil du roi. Il est le prĂ©sident nĂ© de tous les tribunaux. Il est le chef des universitĂ©s, chef des acadĂ©mies⊠Il est inamovible, quand le roi, l'a dĂ©signĂ© chancelier il le reste jusqu'Ă sa mort. Le nouveau roi ne peut pas le changer. Le chancelier a la garde des sceaux. Il a autour de son cou, une clef du coffre des sceaux. Si le roi ne s'entend pas avec le chancelier, il peut lui retirer la garde des sceaux ou il le confit Ă un garde des sceaux. Le chancelier perd du pouvoir et du prestige sous Louis XIV. Il perd le contrĂŽle du domaine royal, il perd le contrĂŽle des eaux et des forĂȘts. Il perd la nomination des intendants de province. Tout ceci au profit du contrĂŽleur gĂ©nĂ©ral des finances. B Le contrĂŽleur gĂ©nĂ©ral des Finances Au dĂ©but du rĂšgne, les finances relevĂ©s de 1 ou 2 surintendants gĂ©nĂ©raux des finances. Mais Ă la mort de Mazarin, Nicolas Fouquet est disgraciĂ© en 1661 dĂ©noncĂ© par Colbert. Colbert assure la fonction mais en octobre 1665 reforme institution pour voir apparaitre un nouveau titre le contrĂŽleur gĂ©nĂ©ral des Finances Colbert 1665-1683. Le dernier contrĂŽleur gĂ©nĂ©ral des Finances est Nicolas DemarĂȘt 1708-1715. Le contrĂŽleur s'occupe de la monnaie, des impĂŽts, des commerces intĂ©rieurs et extĂ©rieurs, des eaux et des forĂȘts,⊠beaucoup de travail. C Les secrĂ©taires d'Etat Leur origine remonte Ă Henri II 1547. Au dĂ©part, c'est ceux Ă qui ont peut confier des secrets, proches collaborateurs du roi. Mais depuis 1547, la fonction Ă Ă©voluer car gouverner devient de plus en plus complexe donc peu Ă peu spĂ©cialisation des taches. GĂ©nĂ©ralement y a quatre secrĂ©tariats d'Etat qui se rĂ©partissent un certain nombre de domaines la guerre, la marine, les affaires Ă©trangĂšres, la maison du roi, les affaires de la RPR religion prĂ©tendue rĂ©formĂ©e⊠Il peut y avoir cumul des fonctions donc des pouvoirs. Ex Colbert Ă©tait en plus secrĂ©taire d'Etat de la marine Ă la maison du roi. Le dernier chancelier Daniel François Veysin a Ă©tĂ© chancelier 1714-1777 et secrĂ©taire d'Etat Ă la guerre de 1709 Ă 1716. Chacun des 4 secrĂ©taires d'Etat a en charge une partie du royaume, par exemple rĂ©gion frontaliĂšre Est secrĂ©taire de la Guerre Guyenne Bordeaux secrĂ©taire d'Etat des affaires Ă©trangĂšres. Le gouvernement absolutiste, la monarchie absolue est censĂ©e avoir atteint son apogĂ©e sous Louis XIV. ApogĂ©e des conseils, des grands commis de l'Etat qui fondent des dynasties la charge de Ministre se transmet de pĂšre en fils Colbert, Le Tellier, les PhĂ©lyppeaux. Mais si les conseillers faits l'emportent sous Louis XIV, les conseillers nĂ©s attendent leur heure, en 1715 lors de la minoritĂ© du roi.
le roi est empereur en son royaume